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Véronique, c'est son nom...

 

avec son talent, sa naïveté touchante et son indestructible force de vie
qui s'est jetée à coeur, corps et âme perdus dans toutes les souffrances et jouissances de la vie, la mort, l'amour, la musique, jusqu'à se brûler
et qu'en est-il sorti
de nombreuses chansons univeslle squi nota ccomagéne des tas de générations
mais surtout où tarsbnaprait presque malgré eleln à tous les coups, sans failli, toujours au moisns ce talent émldoqie , ces courbes, ces mots à a;a péose improbable et brute et magnifiquement sumpels et msyé&treise, ce s^hrasés, ce saccords monters d'une génie musical et compste aux ens 1, matién de touets le sinfleuenecs laiton bleus du e la varie msquieu rock des années et de sannées

Nicolas Sirkis est un étrange garçon, qui a l'air homo mais ne l'est pas, qui a l'air gothique mais ne l'est pas, qui a l'air d'écrire mal mais ne l'est pas, qui est à la tête d'un groupe adulé pour l'aventurier et j'ai demandé à la lune, sauf que sa vraie musique est ailleurs... Un malénge de contradictions, de malentendus, de paradoxes et de...

Parfois Mylène semble à la dérive. Oscillant comme son radeau des Mots entre le culte Farmer enfermant fondé jadis (le gothisme morbide glam porn inoxydable des origines) et de folles envies de renouvellement et de modernisation se partageant le plus élégant (de l'amorce rock de mon coeur lâche annonçant l'amamorphose, à l'électro fine de Moby, et en passant par la techno perturbante car soudain dark et brutale d'un affolé âme stram gram ou d'un féroce dégénération) ou l'incompréhensiblement kitsch (le boum boum eurodance-bontempi où excellent aussi bien tristement Laurent (be me, du temps, réveiller le monde, à l'ombre) que les mercantiles   dragués là sciemment.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ils sont loin les rythmiques et parfaits beyond my, je t'aime mélancolie au spleen sexuel et dansant

Point d'ancrage
 

 

 

 

 

Au fil de cette longue évolution dans le temps, parfois chute, auront toujours brillé les repères d'un style invincible, à travers une série de perles, à la patte, à la griffe congénitalement. Toujours là, ils émaillent, merveilleux phares, les circonvolutions de la miss, et ils s'appellent comme j'ai mal, consentement, mylénium, j'attends, peut-être toi, aime, point de suture, looking for my name, bleu noir, porno graphie, moi je veux, monkey me, love song, interstellaires et insondables...
Oui, Les infidélités accouchent de beautés  monstres  parfois Boutonnesques à l'envi.

Sur cette route, aussi, des miracles, où la belle aura parfaitement su se renouveller tout en brillant de mille feux : appelle mon numéro, c'est une belle,  souviens toi, l'histoire d'une, xxl, vertige, à force de, quand, lift me up, insondables, à rebours...

Alternant toujours, depuis    , les odes et ballades diaphanes, les cauchemars poisseux et les fantaisies pétulantes  , c'est sur ces 3 genres que Mylène et le surdoué, parfois  , Boutonnat ont bâti leur bavarde discographie.

De toutes façons, sur ce chaos, domine la divine et sépulcrale trilogie Je te rends/Avant que/Pardonne-moi où le génie du duo culmine.

Et puis donc les égarements ou les honteux ratages, plats à pleurer, existent aussi. Avec ou sans lui, les indignes et incompréhensibles voie lactée, à l'ombre, réveiller le monde

Son écriture aussi a singulièrement évolué.

AERIAL

L’album du grand retour.
Et Kate, fidèle à elle-même, jamais là où on l’attend.
Comme si elle semblait avoir entendu les rumeurs à son sujet, comme par exemple sur sa trop longue absence, sa légendaire « invisibilité », ou sur son talent si grand, qu'on lui prêterait presque la capacité de chanter n'importe quoi et d'en faire de l'or. N'importe quoi comme l'annuaire, ou.... les infitésimaux de la décimale Pi peut-être ? Ou, allons-y carrément, faire une chanson sur une machine à laver ! Elle a relevé le défi. Elle revient avec le même génie, et la somme de toutes ses périodes, de tous ses talents, de styles si variés, symposium du meilleur de la musique qu’elle a épiée et fomentée de sa tanière ces 12 dernières années de silence.

Si cet album est calme, contemplatif, domestique, carnet de bord au premier abord trop calme d'une femme au foyer familial (histoires d'enfant, de maman, de ménage, de siestes au soleil…), tout y est pourtant si Bush....

La folie du passé que les étourdis diront manquante ici (bien sûr, pas de pop aussi sombre et tonique, immédiate, qu’un … "running up that hill", certes, certes), est bien là, ne pas l'entendre serait erreur.



 

Elle est là, dans la magie ensorceleuse, dans l'angoisse, dans les contes de figures éparses, d’Elvis à Jeanne d’Arc. Dans ses feulements burlesques à la fin de cette Joanni brûlée vive, dans les hurlements terrifiants du vent des montagnes où règne les spectres du King et de Citizen Kane.
Elle est partout voyons. Dans ce grimoire aux formules mythiques d'invisibilité, dans cette funèbre cité sous-marine, couleur styx, où repose la maman de Kate. Dans la mélancolie toute aussi indicible de ce jour de pluie et d’ennui où la mystérieuse mrs Bartolozzi lave et relave son linge en famille, et les vêtements d’un tout aussi mystérieux amant mystérieusement disparu… Ou dans le cauchemar tourbillonnant du mathématicien pré-cité. Et que dire de ces amants, qui emportés par la transe lunaire de l'amour, nagent beaucoup trop profond...  Ou bien sûr, du feu d’artifice final qui concentre toute la rage Bushienne, semé de quelques rires déments imitant les oiseaux. Le reste est une ode surréaliste et impressionniste sur les moindres changements de lumière, du petit-matin où l’enfant s’éveille entre ses parents et les premiers chants d’oiseaux, en passant par la longue matinée romantique, l’après-midi empourprée d’orage au bras d’un peintre de rue, la lente tombée du crépuscule et les sortilèges de la nuit qui mèneront à la véritable ode au retour du soleil, le sacre du printemps de Kate, dans le fracas duquel l’amour de la nature, de l’amour et de la beauté de la vie se fait urgence, rage, extase…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Embrassant dans une grâce irrésistible et un naturel vertigineux le rock le plus brut, des parfums de country, de musique baroque, de symphonie pastorale, de piano nu, d’électro, de jazz ou de percussions tribales ou de guitares espagnoles, Kate livre un chef d’œuvre qu’on attendait même plus, avec la maturité maîtrisée des génies d’un autre monde.
Mais bien dans notre monde à nous.

Entre sa machine à laver et les oiseaux du jardin.
Du ciel à l’eau, un rayon de miel dans un monde musical à qui elle a tant manqué.

LE CAS AMOS

 

Au début on a nié. On y a pas pris garde et, grisé par la beauté toujours majoritaire nous avons fait semblant de ne pas 

Cela commença subrepticement sur l'électrique et grisant, novateur choiehirl. Au milieu de, s'étaient glissé le poil tiède Pandora (ovni que cette pièce du style 100% piano tori que vir't distordez la boite a rythme pop en suestioj), le mièvre, atonal et bâteau playboy mummy. 

Sur le toujours plus envoûtant To Venus and Back , aux côté des saphirs qui ecorcherint a jamais mon coeur de leurs sirtilege (bliss, juarez, josephine, datura, riot poff et même concertina), un suede plus tiède et surtoit un abbérant 1000 océans semblant pasticher une dido ou nous ramenaient de façon fairplay à cette réalité : ah Tori sait aussi faire de la pop commerciale. C'était un exercice de style, une manière de pensions-nous, impossiblemrnt une tenration.

 

Avec la "pause"SLG, on se dit justement que Tori consacre une parenthese pour deverser toutes ces demangaisons sui l'obsede : chanter de la pop calibrée, dàs le moule, comme un rocjer. Comme un homme. Comme son génie est génial, il lui fait accoucher au passage et au detour de ce cocer albums au moibs 2 joyaux cultes :

 

Heart og gold sansnul. Doute le morceau le plus toxic et barré de sa carriere avec Hotel et Zero point

 

Mais le vrai coup d'envoi, ce fut le très mong et chargé et disparate scarlet walk. Dès les premières notes, Amber Waves donne le ton. Le titre éponyme le confirmera, et avant et après luit, au moins x morceaux venqnt allonger la durée d'une tracklist que l'on suspecte disparate rt teop mong, engorgér, encombrant de sons pop FM facultatifs et dispendables les x joyaux de l'écrin.

 

Dals un syndrome beatles/joni mitchelld/fleetwood mac qui ne la quittera pas, Tori insiste sans briller sur style qui ouate son génie, le dilue ey le tiédit. Lui allant tellement moins que lorsq'zlle laisse les muses lnemméer plutot vers

 

ori cessa de faure semblant et assuma cette tendance croissants, cet incompréhensible vélléité de faure de la pop. Une pop justelent . Sous prétexte de l'ambiance country roas movie d'un brûlot féministe (autre tendance que les opus à venir n'allaient cesser de confirmer), s'enchaînèrent les.

Mais qunimporte : cerarins étaient diablement réussis ( pancake, a sorta fairytale, taxi ride et les joyaux your cloud, carbon, gold dust

 

S'en suivront des albums où malgré la montér de cette marée, le génie de Tori continue de nous offeir ses dernieres vraises, meme au coeur dz l'incomprzhensiblelen honni beekeeoer (dont la reputation devrait diamétralelent echangée avec celle de UR). Ce dernier trésor ca hé envoûte de ses doyx amers

Et rerrasse par la beauté électrique d'un beekeeozr, little esrtquakes, ieeee, liquid diamovdq, préfigurant AATS.

Sur chasue album de cette periode il faut faure des coupes. Detruire et excuser des u can bring ur god, not dyinh today, couper sussi les refrains du sinon presque venenzux  dark side of the suj (là même le tutre semble voullir jouer les xlichés les plus. ), pour dntendre kes chef douvre que sont code red, cutrain call, lady blue

Comme s'il y avait 2 Tori, ou plusieurs, déchirée réellement par le virus des poupées amzricaines, la Tori au génie suncère et volcavique a de moiks dn moins de

 

Depuis, le ressac s'est amplifié, alternant l'inutile, le mievre (wildwood), le soporiphique (starling), l'agressant, le ridicule.

jusqu'aux fatals UR et NI.

L'âge n'aidant pas, mariée, maman, les furies douces amères et vertigineuses de bliss, heart of gold, ruby, siren, datura

Rangées les excentricités et les inclassables des premiers opus, graduellement prend le dessus cet effort et cette volonté incompréhensible de moins en moins inconsciente de se tiédir, se couler, se ranger dans une pop plus consensuelle et commerciale, tant dans le son, la prod que la mélodie : snow cherries et angels, wings, les couplets de cloud riders,

Wedding day et america viennt les graines prématurément plantéespar les inoccénts 1000 oceans (intru blafard au coeur de lnincandescence d'un venus), strangz,

 

Parfois un délire de piano nu ou de classique jusqu'à la musique de chambre vient singer les débuys dans un plagiait confondant génie avec caricature et ascèse (les si mornes et inhabités light princess, weatherman, reindeer king, le simple travail d'artefact que uconstituent les pompeux et boursouflés gold dust et night of the junters

 

Parallèlement, l'âge pousse vers une dimension politique de moibs dn moins symbolique et onirique.

 

Jamais dans je me dit, mais de quel tire t'elle cette mémodie (black dove, ruby, ieeee, siren, datura, josephine, code red

 

 

Parfois un miraculeux job's coffin, 

 

 

Parfois les miracles persistent (un forest of glass, un

 

 

Parfois la synthese opere accouchant de perles charmantes (almost rosey, boubcing of. Loud, maybe california, welcome to engalnd, secret spell) ou de presque perles (bats, fire to your plain, miracle) au pire plaisants (drive all night, broken arrow, lamenr)

 

 

Les Geraldines sonnent je couo de grave et ce qui devait arriver arrive : ce stule envahit toit. Par décence Tori se fait pardonner en servant des morceayx rejouant la carte dd la diva piano, et en effet pur et cristallin comme on n'en n'avait pas eu depyis x albums. Mais même les trop vite applaudis ne font que pâlemét copier un . Sonnant comme des b sides improvisées ils se rajourent au caralogue sabs jamais les surpasser.

Le reste comporte au moins 3 horrzurs inecoutables oy le syndrome en questioj devaste toit : et enfin l'insupportable Rise Dicer, sûrement le crime le plus de sa carriere.

 

 

 

 

 

 

Ce qui sonne désormais comme yn abandon total de la furie et du lystere, comme yn rangement confortable dans une mète de famille n'auant plus rien a prouver ou de transcédant a révéler continue de faire son teou avec native invaddr.

Refaisant cette fous le coup du road movie initiatique a la scarler, le clou s'eneonce, cette fois sans l'e lair d'un forest of glass, mais au moins avec plus de mid tzmpo chatmàt que ds geraldines.

Il faut juste enlever les refrains du 1er single dont la ligne melodiqie soufain s'infléchit comme pour briser expres lmoivdre bélol et remabaisser la belle xxx qui etait en train de monter

Même sugne clinique pour Wibgs où balbutie un blues véné'zyx courcircuité dès 15 secondes par un réflexe délivéré et manifeste de paryir en durextiok de la soupe pop. Sur ce dit morcau, la belle vive crépusculaire sursaute encore à, à, lors de la supzrbe ligne melodique desczndantz du "big boys they need to cry". Comme 2 chansons mêlées, le vrai et beau wings est parasité par son double xxxx, et y succomve pour finir sans plys de conculsion.

 

 

L'étonnant breakaway, étonnant car consensuel au possible, structure mélodie paroles classiques au possible, binaire, linéaire, presque scolaire. Nest un succès facile sans risque sans génie mais succès quand même, impossible de résister. Derrière le tearjeket téléphoné, la diablesse a trouvé un pattern mélodique fatal comme un artiste en trouve de temps en temps. Mais ne serait-ce l'arràgzment, celine dion, madonna pu britney soeaes aurait pu chanter cette chanson de rupture sand soucis.

 

Autre accusé flagrant climb, sirupeux, infredonnable, anecdotiques, 

 

Dommage, car Wings contient les 2 germes d'un

Le 1er est

L'autre est la ligne mélodique

Le redte se noie d'un une impro infredonnable semblant chercher délibéremlét à racler le 

 

2 exceptions. On est toujours et indécrottablement dans le même souoe FM mais au moibs la moiteur un peu crasseuse et véné'euse de broken arriw (et sonn"have we lost her") s'empeunt-il d'un charle ombrageux très ahréablz et le rythme lanxinant de bats reteouve t'il oresque le charme chaloupé d'un "pancake", je dis presque. En tous cas ce morceau dégage quelque chose du mantra hypnotique

Mr Bats réunissant les nonchalances enchantées d'un pancake matiné de sangria.

 

 

 

 

 

Entre la silly song et la brokzn love song, Chocolate Song n'a rien pour lui. Le refrain ne nous arra he ni vertige ni sourire ni frisson ni ibspiration. On se demàde ce que. toei ajugé potable dans. ces pauvres 6 notes qui lyu sont passé par ma tête entre 2 baillements. Si au final c'en est etonnant, et la larme vient quand on repense a

Dougnut song

 

 

 

Dieu merci la douleur intime de la perte d'une mère lui a rescuciyé assez de

N'étant jamais très à l'aiss avec les Coral Roim et Je l'appellz

Mystère, magie et émotion tintinabuule comle a la belle epoquz d'un under the pink

Paroles pas assez métaphoriques et trop littérales

 

Avec Benjamin on respire. (Enfin, mais teop rard ! Cnest fluide, c'est tori, cnest ludique. Courte chanson, un peu anecdotique, toujours pas de tempête d'émotion et de, mais au moins un vrai refrain, et une rythmie presque me jesus et autre

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