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"Suspiria"-"Inferno"-"Phenomena" Trilogie.

 

Comme dans suspiria, les personnages se font décimer mystérieusement un à un par des mains sans visage, dans des décors à la cohérence et à l'èclairage singuliers : rouge sanglant, vert saturé et bleu phosphorescent pour S, rose délavé, bleu et vert pâles écoeurants pour. Passent leurs tempsa deamberdansdes lieux hostilesdefiant la raisonpu la coherence des decors etablis. Siefficace la encore plus poisseux etecoueura t. Sang et eau. Viande.Voiles. Derrière lesrideaux. verre brisé. toute une terminologie et mythologie visuelle. Mwurtres aux mises en scene diaboliquement ekaborees. grand guignol. Maniere de changer de plan ou de scene sans prevebir ni expliqyer. Et cette "impossible" lumiere bleue et rose que l'on retrouve dans presque chaque plan. flashs varan, ocean. A bons chats bons rats.  (plan subli l un mange l autre) Insectes et asticots. Icompréhensivles architectures. Premiere scene culte genialement gratuite et inutile sauf pour introduire les themes clefs de l eau, de la mort et du under (cf aussi caves de la bibli telles qu'elles pourraient etre prolongement de celles de l immeuble. Pour semer confusion, justification tj en retard sur actes. Enfin where is the real life ( police, sport, etc...).  De Rose à Mark, Sara, Carlo, Elise, le macabre jeu de relais. Une fin ratée ? Complices de la mère des ombres : le bibliotécaire, le vendeur de hot dogs, la sylphide, la concierge, le valet, le libraire ? Le Taxi et les portes rouges de Suspiria. Le feu purificateur.
Chien, asticots et chauve-souris dans Suspriria.

Chats et rats dans Inferno

Insectes et singe dans Phenomena...

 

Et puis, des jeunes filles qui courent...

Un tueur mystérieux.

Des labyrinthes.

Des femmes menaçantes.